Parti Laval présente ses candidats à Champfleury, Vimont et Saint-Bruno

Le chef de Parti Laval, Claude Larochelle, a annoncé le 18 juillet l’arrivée de trois nouvelles candidatures dans les districts de Champfleury, Vimont et Saint-Bruno en vue des élections municipales du 2 novembre. L’annonce souligne un moment symbolique pour le parti d’opposition, alors que M. Larochelle a annoncé le 10 juillet qu’il ne se représentera pas dans Champfleury, anciennement Fabreville, pour plutôt briguer la mairie face au Mouvement lavallois, au pouvoir depuis 2013.
Ces nouvelles candidatures portent à douze le nombre de candidats officiellement investis par Parti Laval.
Simon-Nicolas Grandmaître dans Champfleury
Directeur adjoint au cabinet de l’opposition et militant de longue date, Simon-Nicolas Grandmaître tentera de succéder à M. Larochelle dans ce district stratégique. Le communiqué mentionne qu’il est aussi vice-président du CPE La Relève, membre des Chevaliers de Colomb de Fabreville, et père de deux jeunes enfants.
« Ce que je veux, c’est que mes rues soient sécuritaires, que mes voisins et ma famille n’aient pas peur chaque fois qu’il y a de grosses pluies, et que nos infrastructures tiennent la route », a déclaré M. Grandmaître, qui s’engage à poursuivre le travail entamé dans le district, notamment en matière de sécurité routière, d’aqueducs et d’infrastructures de proximité.
Liria Serrano dans Vimont
Policière à la retraite après 27 ans de service, Liria Serrano représentera le parti dans Vimont, où elle réside depuis plus de 20 ans. Elle fut la première femme policière à Deux-Montagnes, est mère de trois enfants, ex-militaire et proche aidante.
« La sécurité, ce n’est pas un luxe. C’est une responsabilité de base de la Ville. Les gens veulent des quartiers où ils peuvent marcher, vivre, respirer… sans s’inquiéter », a-t-elle affirmé.
Stéphane Bélanger dans Saint-Bruno
Professionnel du secteur de l’aéronautique et de la défense, Stéphane Bélanger tentera sa chance dans le district de Saint-Bruno. Impliqué dans Hockey Laval et son syndicat, il souhaite mettre à profit son expérience en gestion pour faire avancer les dossiers du quartier.
« Si on ne s’implique pas, rien ne change. La seule option logique, celle qui me rejoignait, c’était Parti Laval », a déclaré le diplômé du HEC Montréal.